lunes, 20 de diciembre de 2010

En este día.....

On This Day in HistoryMonday, December 20th
The 354th day of 2010.
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Today's Highlights in History
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On Dec. 20, 1989, the United States launched Operation Just Cause, sending troops into Panama to topple the government of General Manuel Noriega. (Go to article.)On Dec. 201881Branch Rickey,the American baseball executive famous for creating the farm team system and hiring the first black players, was born. Following hisdeath on Dec. 91965his obituary appeared in The Times. (Go to obit. |Other Birthdays)
Editorial Cartoon of the Day

On December 20, 1902Harper's Weekly featured a cartoon about cartoonist Thomas Nast, who had recently died. (See the cartoon and read an explanation.)

On this date in:
1790The first successful cotton mill in the United States began operating at Pawtucket, R.I.
1803The Louisiana Purchase was completed as the territory was formally transferred from France to the United States during ceremonies in New Orleans.
1860South Carolina became the first state to secede from the Union.
1864Confederate forces evacuated Savannah, Ga., as Union Gen. William T. Sherman continued his "March to the Sea."
1879Thomas Edison privately demonstrated his incandescent light at Menlo Park, N.J.
1946The Frank Capra film "It's A Wonderful Life" had a preview showing for charity at New York City's Globe Theatre, a day before its official premiere.
1963The Berlin Wall was opened for the first time to West Berliners, who were allowed one-day visits to relatives in the Eastern sector for the holidays.
1976Chicago Mayor Richard J. Daley died at age 74.
1999The Vermont Supreme Court ruled that homosexual couples are entitled to the same benefits and protections as wedded couples.
2002Trent Lott resigned as Senate Republican leader two weeks after igniting a political firestorm with racially charged remarks.
2005New York City transit workers began a three-day strike.

Current Birthdays
Jonah Hill turns 27 years old today.

AP Photo/Dan Steinberg Actor Jonah Hill turns 27 years old today.

79Ike Skelton
Outgoing House Armed Services Committee chairman, D-Mo.
78John Hillerman
Actor ("Magnum P.I.")
77Jean Carnahan
Former U.S. senator, D-Mo.
67Dick Wolf
TV producer ("Law and Order" shows)
65Peter Criss
Rock musician (Kiss)
64Uri Geller
Illusionist
64Sonny Perdue
Governor of Georgia
62Alan Parsons
Rock musician
53Billy Bragg
Rock singer
44Chris Robinson
Rock singer (The Black Crowes)
29Roy Williams
Football player
28David Cook
Singer ("American Idol")
28David Wright
Baseball player
20JoJo
Singer
Historic Birthdays
Branch Rickey
 
12/20/1881 - 12/9/1965
American baseball executive 

(Go to obit.)

43Dan Leno
12/20/1860 - 10/31/1904
English entertainer

69Harvey Firestone
12/20/1868 - 2/7/1938
American industrialist

87Hazel Hotchkiss Wightman
12/20/1886 - 12/5/1974
American tennis champion

83Sir Robert Menzies
12/20/1894 - 5/16/1978
Australian prime minister (1939-41, 1949-66)

91Irene Dunne
12/20/1898 - 9/4/1990
American actress

65Robert Van de Graaff
12/20/1901 - 1/16/1967
American physicist and inventor

89Max Lerner
12/20/1902 - 6/5/1992
American educator and columnist

86Sidney Hook
12/20/1902 - 7/12/1989
American social philosopher

69Jean Marchand
12/20/1918 - 8/28/1988
Canadian politician

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SOURCE: The Associated Press
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Doha et le culot de l'art moderne arabe

Doha et le culot de l'art moderne arabe


Le Mathaf, musée dessiné par le Français Jean-François Bodin, vient d'être inauguré à Doha, la capitale du Qatar.

DOHA, ENVOYÉ SPÉCIAL - Ouvert au public à partir du jeudi 30 décembre, le Mathaf (musée en arabe) a été inauguré mercredi 15 décembre à Doha, la capitale du Qatar. Construit par l'architecte français Jean-François Bodin, sur la base d'une ancienne école de jeunes filles, il abrite sur 5 500 mune collection de près de 6 000 oeuvres datant de 1840 à nos jours.

Ce musée est le résultat de l'ambition d'un homme, Cheikh Hassan bin Mohammed bin Ali Al-Thani, lui-même artiste et vice-président du Qatar Museum Authority, qui collectionne depuis vingt ans les oeuvres des créateurs du monde arabe.
Le Qatar Museum Authority a la responsabilité d'une dizaine de musées à Doha et ses environs. Parmi eux : le Musée national du Qatar, dont un nouveau bâtiment dessiné par Jean Nouvel devrait voir le jour d'ici deux ans ; un musée orientaliste ; le Musée d'art islamique conçu par le Sino-Américain Pei Ieoh Ming (architecte notamment de la Pyramide du Louvre) ; et donc le Mathaf, Musée arabe d'art moderne.
Comme il est de tradition dans les pays du Golfe, les portraits de l'émir du Qatar,Cheikh Hamad bin Khalifa Al-Thani, et de son épouse trônent dans l'entrée du Mathaf. Sauf qu'ils sont loin du réalisme plat en vigueur dans l'imagerie officielle : ils ont été réalisés avec le puissant pinceau de l'artiste franco-chinois Yan Pei-Ming. Le ton est donné : tradition, modernité et ouverture internationale.
Cela se vérifie au fil des trois expositions présentées pour l'inauguration. La première, historique, se tient au musée même, les deux autres dans un gigantesque hangar construit à cet effet à proximité du musée bâti par Pei Ieoh Ming (Le Monde du 27 novembre 2008). Pour comparaison, là où le bâtiment de Pei a coûté environ 350 millions d'euros, le Mathaf aurait coûté 8 millions d'euros,.
Ici, il s'agit d'art arabe, pas islamique. La nuance est d'importance, parce que ce qu'on découvre n'est pas nécessairement très catholique. Ou halal, comme on voudra. Pour preuve ce tableau du Syrien Louay Kayyali (1934-1978), peint en 1961, une jeune femme allaitant son enfant. Le sein est vu de profil, assez stylisé, pas de quoi outrager même une ligue de vertu occidentale, mais surprenant dans le contexte pudibond des émirats. Pudibond, mais pas intolérant. Il leur arrive même de se moquer de leurs petits travers, comme dans ce tableau de Faisal Laibi (né en 1947), qui représente une épouse agenouillée aux pieds de son mari, lequel fume tranquillement le narguilé tandis qu'elle lui ôte ses chaussures : l'oeuvre est intituléeRelationship !
Interrogée par CNN, la jeune (30 ans) directrice du lieu, Wassan Al-Khudhairi, admet que le Mathaf doit contribuer à faire reculer les frontières de ce qui semble acceptable dans la région. On en trouvera un autre exemple, frappant, dans la troisième exposition, consacrée à l'art le plus contemporain, avec une vidéo d'Adel Abidin (né en 1973), qui montre une blonde volcanique chantant sur la scène d'un cabaret, et dans l'intimité de sa loge. Pulpeuse et fort peu habillée, ce qui détonne déjà. Les textes de ses chansons ont été écrits autrefois en Irak, des textes à la gloire de Saddam Hussein.
C'est l'autre aspect frappant de ces expositions, et plus particulièrement de la contemporaine : la politique non plus n'est pas taboue. Cela donne parfois des oeuvres formidables, comme cette installation de Khalil Rabah (né en 1961), qui vit à Ramallah et a imaginé un porte-avions dont la piste a été reconvertie en plantation de tomates et de fraisiers. Les soutes abritent des usines de transformation, et l'ensemble produit de la sauce et de la confiture conditionnées sous la marqueUnited States of Palestine Islands. Quant au profil du navire, il reproduit celui de la bande de Gaza, d'où l'exportation de ces produits est rendue délicate par l'embargo israélien. L'oeuvre est intitulée Bioproducts.
Organisée en douze salles thématiques, la première exposition peut décevoir, car très hétérogène, le pire côtoyant le meilleur. On y trouve cependant quelques beaux morceaux de peinture, comme les tableaux de deux artistes qui firent parler d'eux dans l'école de Paris des années 1950, Fahrelnissa Zeid (1901-1991) et Chafic Abboud (1926-2004). Il faut la prendre comme une tentative d'inventaire d'un art si mal connu que les organisateurs eux-mêmes peinent parfois à dater certaines pièces. Inspiré du poète Mahmoud Darwich, son titre, "Sajjil", indique bien son caractère exploratoire : le mot désigne l'action d'enregistrer.
La deuxième exposition présente cinq artistes d'une génération intermédiaire, Dia Azzawi (né à Bagdad en 1939), Farid Belkahia (né à Marrakech en 1934), Ahmed Nawar (né en Egypte en 1945), Ibrahim El-Salahi (né au Soudan en 1930) etHassan Sharif (né à Dubaï en 1951). Les organisateurs les considèrent comme les pères d'un art contemporain arabe.
Enfin, la troisième exposition montre les jeunes les plus actuels. Certains sont bien connus en Occident, comme Ghada AmerKader AttiaWalid RaadMounir Fatmiou Zineb Sedira. Cet ensemble-là est d'un niveau exceptionnel : s'il était présenté tel quel à la Biennale de Venise, par exemple, il mériterait le Prix du meilleur pavillon.
Mais l'enseignement du Mathaf est ailleurs : soit dit sans paternalisme aucun, nous sommes ici dans l'enfance de l'art, ou plutôt d'une histoire de l'art. Les goûts d'un pays jeune peuvent se former à la manière de ceux d'un individu : François Pinaulta ainsi aimé d'abord des peintres classiques et figuratifs, comme Paul Sérusier, avant de s'intéresser à Mondrian, puis à l'art le plus contemporain. Ce que les expositions du Mathaf montrent, c'est la constitution, l'invention, in vitro, d'une culture plastique de la nation arabe.
Quand Abou Dhabi annonce des projets pharaoniques, le Qatar, lui, les fait.

Mathaf : Musée arabe d'art moderne, Education City, Doha, Qatar, Tél. : + 974 4487 6662. 
Le Mathaf est ouvert du mardi au jeudi, le samedi et le dimanche de 11 heures à 18 heures, et le vendredi de 15 heures à 21 heures. Fermé le lundi et le premier jour de l'Aïd.
Harry Bellet

El Consejo de Europa persigue los medicamentos falsos


El Consejo de Europa persigue los medicamentos falsos
El Consejo de Europa ha acordado la primera regulación internacional que persigue la fabricación, distribución y venta de medicamentos falsos. También actuará si se lanzan al mercado productos que no hayan conseguido la autorización pertinente, aunque no sean nocivos.
FUENTE | El País Digital19/12/2010
Medicrime, que así se llama la convención, también regula las herramientas de colaboración entre los distintos países para perseguir el tráfico de medicamentos falsos. Esta práctica está en auge, sobre todo por el comercio ilícito facilitado por Internet. La convención estará lista para que los países la suscriban a partir de enero de 2011.

Según la Organización Mundial de la Salud, aproximadamente un 50% de los medicamentos que se venden por Internet son falsificaciones. Los adelgazantes y los preparados para la disfunción eréctil son los más demandados, aunque prácticamente no existe campo terapéutico en el que no haya fraude. Ni un tipo de medicamento. Pueden falsificarse tanto los de marca como los genéricos.

La OMS afirma que hay dos tipos de riesgos asociados a estos productos. Por un lado, que contengan elementos que sean directamente nocivos. Por otro -y esto es lo más frecuente- que no estén compuestos por los principios activos adecuados. En ese caso el riesgo para los pacientes es que sustituyen fármacos eficaces por otros que no les van a hacer daño, pero tampoco a curar.

Autor:   Emilio de Benito

La acupuntura tiene sus riesgos


La acupuntura tiene sus riesgos
Una persona enferma y sufre dolores cuando el ying y el yang -las dos fuerzas corporales- no están en equilibrio. Así lo dice la medicina tradicional china, que trata de volver a poner las cosas en su sitio por medio de la acupuntura. En ese país se utiliza para todo. En Occidente cada vez es más popular para aliviar los dolores de la artrosis, los musculares, para hacer más llevadero el embarazo o para tratar la depresión. La técnica de colocar agujas en puntos estratégicos gana adeptos, pero una investigación oriental alerta de que también implica riesgos.
FUENTE | ABC Periódico Electrónico S.A.19/12/2010
Los desmayos y los neumotórax (la presencia de aire en la pleura que rodea los pulmones) son los efectos secundarios más frecuentes de esta técnica, pero no los únicos. Según el trabajo, realizado por investigadores chinos tras analizar 115 artículos y del que se hace eco el boletín de la Organización Mundial de la Salud (OMS), hay que tener mucho cuidado con la profundidad a la que se introducen las agujas, con la zona del cuerpo que se está manipulando y con la postura y las condiciones del paciente, tres factores de los que depende la seguridad de la técnica.

En los estudios analizados -que abarcan las tres últimas décadas- se registraron 479 efectos adversos en pacientes que iban desde los dos hasta los 73 años. De ellos, 296 fueron lesiones traumáticas y el neumotórax fue la más común (201). Cuatro personas fallecieron por esta causa y el resto se recuperó tras recibir tratamiento. Los investigadores señalan que es la manipulación de los puntos de los hombros, la región escapular y el pecho lo que más riesgo implica para que surja esta lesión. Aunque una historia clínica de bronquitis crónica o enfisema también empeora las cosas.

Nueve individuos sufrieron hematomas en las zonas torácica, lumbar y espinal; 35 pacientes tuvieron una hemorragia subaracnoidea (en el cerebro) y tres fallecieron. Estas lesiones se producen sobre todo al tocar los puntos que rodean la médula espinal y por meter las agujas más de lo que se debería. Los problemas en los órganos y tejidos abdominales se debieron a que la aguja penetró más de la cuenta y perforó la pared intestinal o el estómago. Estas zonas se estimulan, la mayoría de las veces, para tratar la apendicitis. El cuello y los ojos son otras de las áreas delicadas en las que pueden surgir complicaciones.

Aparte de las lesiones traumáticas, quien recurra a la acupuntura puede volver con alguna infección, generalmente debida a una mala esterilización de las agujas. Reacciones alérgicas locales, dolor e hinchazón en la zona donde se han colocado las agujas y, sobre todo, los desmayos son otros de los 'peligros' de la práctica china.

PREVENCIÓN

Dada la popularidad de esta técnica, los autores, de la Universidad de Medicina Tradicional China de Taijin, insisten en la importancia de poner más interés en las cuestiones de seguridad. "Muchos de los problemas vienen de una higiene insuficiente y de la costumbre de muchos acupuntores de limpiar las agujas con alcohol en lugar de esterilizarlas, algo que debería ser obligatorio", indican.

Asimismo, añaden que "conocer la profundidad a la que se pueden meter las agujas en los diferentes puntos, saber el estado general del paciente antes de comenzar con la técnica y colocarles en buena posición podría minimizar muchas de estas complicaciones, que normalmente se producen en áreas rurales donde los acupuntores no reciben formación médica sino que aprenden la técnica de sus antepasados".

El estudio se centró sólo en la acupuntura tradicional, aquella que se realiza con agujas y manualmente. No evaluó las consecuencias de otras modalidades como la electroacupuntura o la acupuntura por láser.

Autor:   Isabel F. Lantigua

La guerra de los correos electrónicos


La guerra de los correos electrónicos
Quién no ha pulsado sobre el icono «Enviar y recibir» del ordenador, porque espera ansioso y, ya casi al borde de la desesperación, la llegada de un correo. Y de repente ahí está, ¡por fin!
FUENTE | La Razón digit@l19/12/2010
Hoy día los mails son una forma más de comunicación que utilizan más de 800 millones de personas en el mundo, un medio tan asentado como el teléfono, nadie concibe vivir sin ellos y menos trabajar. Se envían documentos de forma ágil y en tiempo real, una herramienta clave en un mundo en el que la información es un valor en alza.

Cientos de miles de millones de correos circulan cada día por la red, si a eso le sumamos el «boom» que han experimentado la redes sociales a lo largo de este último año, tenemos un cóctel bastante atractivo. La mayoría de los usuarios de las mismas dejan a un lado los SMS, los mails y, por supuesto, el teléfono y organizan su vida a través de sus perfiles en Internet. Y la novedad llega ahora de la mano del gigante de la mayor red social, Facebook, quien ha puesto a disposición de sus usuarios la opción de tener una cuenta «@facebook.com», con lo que podría en peligro el oligopolio de Gmail,Yahoo y Hotmail.

Una propuesta que no ha dejado indiferente a nadie. De momento, sólo estará disponible en EE.UU., mientras el resto de adictos a esta red deberán esperar a que llegue a su país. Resulta muy común entre las nuevas generaciones, no sólo los adolescentes, dedicar más tiempo a las redes que al correo. De hecho, en el mismo Facebook muchos usuarios pertencen al grupo: «Yo abro antes mi Facebook que mi correo».

CUESTIÓN DE CIFRAS

Sobre la mesa, el órdago que plantea Mark Zuckerberg tan sólo pone en juego hacia qué lado se decantarán los usuarios. Y en este terreno, Facebook con sus más de 500 millones de adeptos tiene mucho que decir. Sus competidores andan al menos dos pasos por detrás: Hotmail con 360 millones, Yahoo con 270 y, el última en llegar Gmail, con 200. Lo que marca la diferencia son los valores añadidos, como las aplicaciones que permiten una mayor conectividad del usuario con la red y que al mismo tiempo pueden usar aplicaciones útiles, como editores de texto, calendarios, álbumes de fotos... En esta «guerra de correos» las amistades pueden llegar a romperse y buscar nuevos compañeros de patio. Desde los blogs de los internautas se apunta el hecho de que desde Facebook no se pueda importar la lista de contactos de Gmail y que su nuevo aliado sea Microsoft, quien pudiera proporcionarle el soporte de las «apps» que necesitan, a pesar de que eso haga daño a Hotmail.

Zuckerberg dejó muy claro durante la presentación que no se trata de abrir una brecha con los demás proveedores, sin embargo no puede precedir que eso mismo no vaya a suceder. Con todo, aseguró que dentro de un año puede que haga falta crearse una cuenta de correo de Hotmail. Además, subrayó que el tema es que esencialmente las nuevas generaciones y las futuras utilizan cada vez menos el correo electrónico y eso es algo contra lo que no se puede luchar.

Obviamente todavía tiene su espacio: en el campo de los negocios, sin embargo los usuarios informales usarán cada vez más los mensajes vía SMS o mensajería instantánea -como la que ofreceWhats App- dado que es mucho más simple y barato si se tiene una conexión a Internet en el terminal móvil.

Desde Facebook aseguran que en realidad no es un correo electrónico al uso, al menos no como se conoce hoy en día. En el que ellos proponen las prioridades son otras. Las conversaciones se ordenarán por la persona con quién se mantiene y no por el asunto. Al agruparse por el contacto, en el mismo se puede saber si ha sido mediante correo, SMS o mensaje instantáneo y se podrá decidir quién entra y quién no en cada conversación. El único que tiene algo parecido es Gmail, con el Inbox Priority, que como explica Javier Arias, ingeniero senior de Soporte de Ventas de Google, «el correo aprende cada día cuáles son los contactos más importantes y los coloca al principio de la bandeja y el resto los pone a continuación». Una buena forma de distinguir entre lo útil y lo que no lo es.

Si además de correo queremos otras aplicaciones (editores de texto, imágenes) aquí el que llegó primero fue Gmail y quizás encabeza la carrera, ya que de forma permanente incluye nuevas opciones. Recientemente, Hotmail, como hijo de Microsoft, sigue la estela y permite disponer de Office Web Apps integrado, el paquete completo de Office en Internet, de manera que sin tener instalado el programa se pueden crear, editar y compartir documentos.

Además, Facebook propone una solución para aquellos mails que recibimos de un contacto que no tiene cuenta en la red social. Así, su correo electrónico se encontrará inicialmente en la carpeta de «Otros», pero luego resulta sencillo mover esas conversaciones a la bandeja de entrada y todas las conversaciones posteriores aparecerán allí.

Desde Yahoo apuestan en firme por su relación directa con las redes sociales, hacia las que enfocan el correo. Así lo explica Diego Díaz, responsable de Productos y Servicios de Yahoo España, «la nueva versión, que todavía está en fase Beta, presenta novedades en este aspecto y permite a los usuarios ver y compartir actualizaciones de Twitter y Facebook, entre otras redes sociales. También incluye otras funcionalidades como herramientas de mensajería instantánea, para hablar con los contactos desde el correo».

Si el futuro de las comunicaciones se halla en la mano de las nuevas generaciones es justo ahí donde se debe observar qué cambios se van a producir. La permanente conectividad a las redes es posible gracias a la popularización del uso de Internet en el móvil. Al finalizar el actual año, 5.300 millones de personas en el planeta usarán este tipo de comunicación, según previsiones de la Unión Internacional de Telecomunicaciones (UIT).

Esto significa que desde los terminales móviles los usuarios no sólo envían SMS, sino que actualizan su estado, escriben en el «muro», mandan mensajes instantáneos o envían correos electrónicos. Entonces, si tienen acceso a todas las opciones, ¿cuál será el caballo ganador? Quizás, en un terreno cambiante todavía habrá que esperar a lo que los usuarios decidan en los próximos meses.

Grandes perspectivas para los tratamientos contra el cáncer basados en el platino


Grandes perspectivas para los tratamientos contra el cáncer basados en el platino
Un equipo de científicos financiados con fondos comunitarios ha diseñado un tratamiento potencialmente muy efectivo contra el cáncer basado en el platino y que emplea luz azul para su activación.
FUENTE | CORDIS: Servicio de Información en I+D Comunitario19/12/2010
Además de ser más potente que otras medicinas basadas en el platino, este tratamiento activado por luz podría destruir células cancerosas con mayor precisión. En la revista Angewandte Chemie se ha publicado un artículo sobre estos descubrimientos científicos realizados en el Reino Unido.

El apoyo comunitario al trabajo procedió del proyecto PHOTORUACD («Fármacos novedosos contra el cáncer basados en el rutenio fotodisociable»), financiado con una beca intraeuropea Marie Curie por valor de 178.000 euros con arreglo al programa de trabajo «Personas» del Séptimo Programa Marco (7PM).

El platino, un metal precioso, es un componente ampliamente utilizado en fármacos contra el cáncer, como por ejemplo el cisplatino, el carboplatino y el oxaliplatino. La activación mediante luz (fotoactivación) de un fármaco basado en el platino permitiría a la comunidad médica seleccionar el punto de activación dentro de un tumor. Esto reduciría el daño producido a los tejidos sanos que lo rodean, evitaría efectos secundarios y probablemente ampliaría la aplicación de fármacos basados en el platino a células cancerosas que han desarrollado resistencia farmacológica y a otros tipos de células cancerosas.

En la Universidad de Warwick han logrado crear un complejo de platino que se activa por luz ultravioleta A (UVA). No obstante, y según los investigadores de esta universidad, dicha longitud de onda tan reducida limitaría su uso clínico. El equipo de la Universidad de Warwick y científicos delHospital Ninewells de Dundee y la Universidad de Edimburgo describen en este estudio un nuevo compuesto de platino que se activa mediante dosis limitadas de luz visible verde o azul.

Además, el complejo, cuyo nombre completo es trans,trans,trans-[Pt(N3)2(OH)2(py)2], es estable, sencillo de manipular e hidrosoluble, por lo que el organismo es capaz de deshacerse de él una vez utilizado.

«Lo singular de nuestro complejo es que no sólo se activa mediante luz ultravioleta, sino también mediante exposiciones pequeñas a luz azul o verde», explicó Peter Sadler del Departamento de Química de la Universidad de Warwick, quien dirigió la investigación. «La activación mediante luz genera un compuesto citotóxico potente que ha demostrado ser considerablemente más efectivo que otros tratamientos como el cisplatino.»

El equipo sospecha que su nuevo tratamiento podría ser especialmente efectivo en el tratamiento de condiciones precancerosas y de cáncer en órganos de pared fina como la vejiga o el esófago. Las pruebas realizadas en células cancerosas del esófago cultivadas en el laboratorio indicaron que al activarlo mediante luz azul el compuesto tiene una gran efectividad y en la actualidad el equipo lo está probando en células cancerosas del hígado y los ovarios.

«Este compuesto podría influir en gran medida en la efectividad de los futuros tratamientos contra el cáncer. La activación por luz dota al compuesto de una potencia tóxica enorme y también permite concentrar el tratamiento en las células cancerosas con mucha mayor precisión», comentó el profesor Sadler.

«Creemos que los complejos de platino activados por luz permitirán tratar cánceres que hasta ahora no reaccionaban a la quimioterapia con complejos basados en el platino. Los tumores que han desarrollado resistencia a los fármacos convencionales basados en el platino podrían responder a estos complejos y además los efectos secundarios serían menores.» 

Aspirina contra el cáncer


Aspirina contra el cáncer
Un estudio británico muestra que una dosis diaria de ácido acetilsalicílico disminuye la mortalidad un 20% en varios tipos de tumores.
FUENTE | La Razón digit@l19/12/2010
Un grupo de investigadores británicos ha llegado a la conclusión de que la ingesta regular -diaria a ser posible- de un fármaco tan simple como la aspirina es capaz de reducir la mortalidad asociada a varios tipos de cánceres.

En un trabajo previo publicado en octubre de este año, Peter Rothwell, del Hospital John Radcliffe en Oxford y sus colegas demostraron cómo el consumo de bajas dosis de acido acetilsalicílico reducía la muerte por cáncer colorrectal, pero en este nueva investigación ha demostrado que ese beneficio es extensible a otros tumores frecuentes, según publican esta semana en la revista científica «the Lancet». La investigación consta de ocho ensayos, que abarcaron a más de 25.000 pacientes, en los que los autores demuestran que la asignación de aspirina en dosis de 75 miligramos diarios redujo la muerte por cáncer de un 21 por ciento de ellos, con beneficios evidentes al cabo de 5 años de seguimiento. El descenso de los fallecimientos fue de un 34 por ciento después de cinco años. El período de latencia antes de constatar un efecto positivo sobre la mortalidad fue de aproximadamente 5 años para el esófago, el páncreas, y cáncer de pulmón; de unos 10 años para el estómago y el cáncer correctal, y cerca de 15 años para el cáncer de próstata.

«Estos resultados proporcionan la primera prueba en el hombre de que la aspirina reduce la mortalidad por varios cánceres comunes, lo que sugiere que los resultados puedan ser generalizados». Por tumores, en el estudio se refleja que con la aspirina se ha conseguido reducir la mortalidad un 10 por ciento en el caso de cáncer de próstata; un 30 por ciento en el pulmonar, 40 en el colorrectal o de vejiga y 60 por ciento en el de esófago. Por ello, el profesor Rothwell sugiere que las personas sanas podrían comenzar a tomar dosis bajas de 75 miligramos de aspirina al día desde los 40 o 45 años, y seguir con ella hasta los 75 años, que es cuando aumenta el riesgo de que la aspirina cause hemorragia estomacal. Los autores explican que se requieren más investigaciones para saber el efecto de la aspirina en el riesgo de cáncer de mama y de otros cánceres en la mujer. «Quizás el hallazgo más importante a largo plazo es la prueba de que el principio de los cánceres se pueden prevenir por compuestos simples como la aspirina» concluye Rothwell.

Autor:   D. F.

Prensa en la cuarta pantalla. Movilidad de la información del papel al bolsillo

Noviembre-diciembre 2010, vol. 19, núm. 6
Medios de comunicación en internet
Prensa en la cuarta pantalla. Movilidad de la información del papel al bolsillo
Carmen Costa-Sánchez y María-Teresa Piñeiro-Otero
Resumen: La prensa digital se encuentra inmersa en un proceso de intenso dinamismo, caracterizado por la incorporación al proceso de comunicación de las nuevas tecnologías de la comunicación y la información (TIC) y la búsqueda de nuevos modelos de negocio. En este contexto, los medios digitales han encontrado en los dispositivos móviles una de sus principales plataformas de desarrollo, dadas las posibilidades que presentan a la hora de acercar la información a sus receptores, así como individualizar los mensajes en función de sus preferencias. Se abordan las posibilidades de movilidad de la información que presentan los nuevos dispositivos móviles, así como su implantación entre los cibermedios españoles. Un análisis para el que se han tomado como referencia aquellas webs auditadas por OJD Interactiva.
Palabras clave: Dispositivos móviles, Cuarta pantalla, Web 2.0, Noticias, Información.
Title: Press on the fourth screen. Information mobility from paper to pocket.
Abstract: Online press is immersed in a dynamic process, characterised by the incorporation of information technologies (IT) and search for new business models. In this context, digital media have found in mobile devices one of their main platforms of development, due to the possibilities of bringing information closer to its recipients and personalising messages according to their preferences. The object of this article is to investigate the potential of new mobile devices for information mobility, and their implementation for Spanish cybermedia. Pages audited with OJD Interactive software were used for this analysis.
Keywords: Mobile devices, Fourth screen, Web 2.0, News, information.

domingo, 19 de diciembre de 2010

Netvibes_Revisiones_bibliográficas









Bibliomanazteca















QBP profesional independiente, dedicado a la elaboración de revisiones bibliográficas.

http://www.netvibes.com/bibliomanazteca#Revisiones_bibliogr%C3%A1ficas

Teratogenicidad de la carbamazepina relativamente específica de la espina bífida

Teratogenicidad de la carbamazepina relativamente específica de la espina bífida imprimir
20/12/2010Redacción
Las mujeres con epilepsia que toman carbamazepina durante el primer trimestre de embarazo presentan un mayor riesgo de tener un hijo con espina bífida (de 2,6 veces en comparación con las mujeres que no toman ningún medicamento antiepiléptico), según muestra un nuevo estudio publicado en la revista British Medical Journal.En este estudio, se confirma además que la carbamazepina es menos teratogénica que el ácido valproico. De todos los fármacos anticonvulsivantes, la carbamazepina se asocia con una menor tasa de defectos morfológicos y, por lo tanto, se debe considerar el fármaco de elección para controlar las convulsiones durante el embarazo si está clínicamente indicado. 
Los autores revisaron 8 estudios con un total de 2680 embarazos con exposición a la monoterapia con carbamazepina durante el primer trimestre del embarazo. Únicamente la espina bífida se asoció significativamente con la monoterapia con carbamazepina. Sin embargo, al comparar los resultados con los del ácido valproico, el riesgo era menor para la carbamazepina que para éste.
[ BMJ 2010]
Jentink J, Dolk H, Loane MA, Morris JK, Wellesley D, Garne E, et al.
Palabras Clave: Ácido valproico. Carbamazepina. Embarazo. Epilepsia. Espina bífida. Teratogenicidad

Mar de Historias

Mar de Historias
Luces de bengala
Cristina Pacheco
L
a historia de aquel diciembre inolvidable está asociada a mi primo Rafael: ojos amarillos, pómulos salientes y hombros huesudos. A los seis años quedó huérfano de madre. Mi tío Herminio, su padre, tuvo que llevárselo a su carpintería: un cuarto hecho de láminas, siempre cubierto de aserrín, repleto de tablones, lienzos y muebles desvencijados. El techo era una lona amarilla que, a la luz del sol, lo bañaba todo de un color áureo que convertía el taller en una especie de gruta mágica. Tal vez a ese efecto se hayan debido la extraordinaria imaginación de mi primo y su eterno optimismo.
A la muerte de su padre, Rafael quedó al frente de la carpintería. En diciembre, cuando se le cargaba el trabajo, nos pedía a los niños de la vecindad que lo ayudáramos con las tareas menudas a cambio de darnos refrescos de grosella, panes dulces y unas cuantas monedas para que, por consejo suyo, compráramos luces de bengala.
Explica su exigencia el hecho de que frente a nuestra vecindad hubieran construido para los trabajadores de la fábrica de vidrio una serie de casitas de una sola planta y con un pequeño jardín. Por el simple hecho de vivir allí los considerábamos ricos.
Los niños de esa unidad nunca nos invitaron a celebrar con ellos las posadas. Las disfrutábamos desde el quicio de la vecindad cantando la letanía o sumándonos al coro en el momento en que ellos iban a romper la piñata: ¡Dale, dale, dale/ no pierdas el tino/ porque si lo pierdes/ pierdes el camino! Al final encendíamos nuestras luces de bengala. Su fugaz resplandor nos igualaba por unos instantes con los niños ricos.
Muchas veces mi madre se dolió de que nosotros no pudiéramos festejar la Navidad de la misma forma en que lo hacían nuestros vecinos. A su lamento se sumaban muchos otros. El único optimista era Rafael: Calma, calma, ya verán que el año que entra, a estas horas, estaremos celebrando nuestras posadas y preparándonos para la cenaSí, claro, decía mi madre sin esperanza, tomando los buenos deseos de mi primo Rafael como otra más de sus locuras.
II
Nunca olvidaré aquel 19 de diciembre. Al entrar en la carpintería, en vez de saludarnos, mi primo nos mostró un sobre. Estaba dirigido a él en términos deAfortunado suscriptor. Durante unos segundos nos mantuvo en suspenso acerca de su contenido y al fin extrajo la carta en la que sobresalían una cifra –5 mil pesos– y una llave garigoleada.¿Qué creen que es esto? Nuestra imposibilidad de responder le brindó ocasión de darnos la buena noticia:
Al fin, después de nueve años de estar suscrito a una publicación deportiva, había sido premiado con un bono de 5 mil pesos. En nuestras condiciones, la cifra significaba todo el dinero del mundo, más que suficiente para celebrar en la vecindad el resto de las posadas y tener una cena colectiva con pavo, uvas y sidra burbujeante digna de provocar la envidia de nuestros enemigos: los niños ricos.
Corrimos a darle la buena noticia a mi madre. Ella se la comunicó a nuestras vecinas. Juntos fuimos a la carpintería para felicitar al primo Rafael. La carta pasó de mano en mano hasta que llegó a mi padre. Con expresión adusta señaló un renglón escrito con tinta roja: Oigan esto: En enero, al renovar la suscripción, usted podrá hacer efectivo este bono.
Por supuesto, mi primo Rafael lo había leído y solucionado el escollo que significaba la demora en el cobro: adquiriría en las tiendas y en el mercado en donde era muy conocido todo lo necesario para nuestras celebraciones. Ninguno de los proveedores le negaría el crédito y menos si él les mostraba la carta con la llave garigoleada: señal inequívoca de que tenía acceso al cofre del tesoro.
III
Aquella mañana, bajo la luz dorada que bañaba el taller, se tomaron decisiones. Por lo pronto, cerrar por unas horas la carpintería para que Rafael pudiera respaldar con su carta las compras. Para hacerlas fueron designadas mi madre y Justina, la portera a quien se atribuían poderes curativos y una sazón incomparable demostrada en las fritangas que vendía por las noches en el quicio de la vecindad.
Nunca habíamos vivido nada tan emocionante, así que a los tres compradores se sumó quien quiso. Todos fuimos testigos de los poderes mágicos de aquella carta que nos autorizaba a entrar en las tiendas y en la pastelería para ordenar lo que hasta ese momento había sido inalcanzable: pasas, nueces, dátiles, colaciones, chocolates, tartas glaseadas rellenas de merengue.
En el mercado, a los niños nos concedieron el privilegio de elegir las piñatas: una estrella de siete picos, un barco y una princesa con vestido de papel crepé. Eran muy pesadas. Regresaríamos por ellas más tarde, cuando Lázaro, nuestro vecino dedicado a las mudanzas, pudiera facilitarnos su camioneta de redilas.
La compra del pavo en el obrador de Cos fue un momento solemne. Aún recuerdo la circunspección con que mi madre hundía los dedos en la carne maciza de los pavos a fin de optar por el que, según ella, era el de mejor calidad. El primo Rafael, convertido en nuestro afortunado beneficiario, decidió que se cocinara en mole. Eso tarda, sentenció Justina y corrimos al molino de chiles propiedad de don José: un hombre redondo y calvo. La abundancia de vellos en los brazos y los pelos que le salían por las orejas y las hornillas de la nariz le daban el aspecto de uno de esos borreguitos de barro sobre los que germinan las semillas de chía.
IV
Fatigados por tanta excitación entramos en la nevería de las Camilas. Madre e hija eran oriundas de Michoacán y practicaban el recetario de un antepasado heladero. En el establecimiento todo era verde. Como si fueran retratos de familia, las fotografías de las especialidades adornaban las paredes: banana split, tres marías, fresas con crema, leches malteadas.
A la voz de mi primo Rafael –¡Pidan lo que quieran!– ocupamos los gabinetes con bancas corridas. A los niños nos acomodaron en los del fondo. De una mesa a otra nos ofrecíamos probaditas de helado o comentábamos los sabores sin prestar atención a las fastidiosas advertencias de los adultos: Niños: no coman tanto porque se van a enfermar.Tere: el helado está muy frío y tú acabas de tener gripa. Mejor tómate un flan.Nena: ¿para qué lo pediste si sabías que no ibas a acabártelo?
Mi madre, poco habituada a ir a restaurantes, a cada momento limpiaba con una servilleta de papel las gotitas de helado o de refresco que caían en la mesa. Cada vez que se acercaba algún empleado para ver que estuviéramos bien servidos, doña Justina pedía una bolsa para llevarse los trozos de pastel y galletas dejados en los platos.
Llegó la hora de pedir la cuenta. Mi primo Rafael le entregó a la mesera la carta mágica y le pidió que se la llevara a su jefa. Mi madre pensó que debíamos dejar la propina en efectivo. Justina opinó que fuera una cantidad razonable. Estaba discutiéndose el monto cuando Camila, la mayor de las dueñas, apareció enarbolando la carta como si fuese una bandera: ¿Para qué me mandaron esto?
Con su espléndida sonrisa mi primo Rafael la hizo leer el renglón en donde lo señalaban como el ganador de los 5 mil pesos y agregó: En enero, cuando los cobre, vendré a pagarle. Usted me conoce y sabe que soy derecho. Camila permaneció con la boca abierta hasta que al fin pudo hablar: Eso no vale. Todos los suscriptores de la revista recibieron un mensaje igual, entre ellos mi hijo. ¿Qué no leíste lo que dice atrás?
Mi primo Rafael tomó la carta y nos leyó la aclaración escrita con letra menuda en el reverso: “Como una cortesía para nuestros suscriptores, en enero recibirán nuestra publicación conmemorativa: 5 mil pesos. El principio de un imperio editorial y la llave del éxito. Memorias de un luchador con tinta en las venas. Nuestro desaliento superó las dificultades para juntar el dinero de la cuenta, incluida la propina.
Quedaba un problema por solucionar: ¿qué hacer con las compras adquiridas a crédito? Mi madre sugirió que las devolviéramos. Mi primo Rafael opinó lo contrario. Su optimismo le permitía suponer que, en las pocas semanas que faltaban para enero, juntando parte de las tandas y las ganancias extra, entre todos lograríamos reunir lo necesario para saldar la deuda. Era un sueño imposible, pero quisimos creerlo.
En enero mi primo traspasó su carpintería. Con parte del dinero pagó todas las deudas. Enseguida se fue del barrio dejándonos el recuerdo de la más hermosa de nuestras navidades. Espero que Rafael regrese a visitarnos. Cuando lo haga voy a preguntarle si en verdad no había leído el reverso de la carta mágica o si lo ignoró a propósito, para que al menos durante un diciembre nuestra alegría infantil durara un poco más que el chisporroteo efímero y brillante de las luces de bengala.